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L’ASBL DYNAMO

Les premières actions de Dynamo datant du printemps 1984, c’est finalement en 1986 que paraissent nos premiers statuts. L’asbl Dynamo est agréée en tant que service d’aide aux jeunes en milieu ouvert par le gouvernement de la Communauté française depuis 1991. Le service est spécialisé dans le travail social de rue et touche un public d’enfants et de jeunes issus de milieux défavorisés et/ou confrontés à l’exclusion, à la marginalisation et à la stigmatisation.

Nous sommes actifs sur trois communes bruxelloises dans différents quartiers de Forest, Uccle et Ixelles, notre siège social se trouvant sur la commune de Forest.

La rue comme lieu de socialisation où se nouent et se dénouent toutes sortes d’événements, c’est notre quotidien et notre choix.

Notre mode d’intervention principal est le travail social de rue. Il s’agit d’une démarche de prise de contact particulièrement proactive puisque, au lieu d’attendre le jeune dans son bureau, c’est le travailleur lui-même qui va à sa rencontre.

Concrètement, notre intervention repose sur le principe dit de « la double amorce » :

La première « amorce » : la prise de contact et le renforcement de la relation jeune – travailleur social.

La première prise de contact se fait le plus souvent par ce que nous appelons les « prétextes à la rencontre ». Il s’agit essentiellement d’animations spontanées dans l’espace public, celles-ci pouvant prendre des formes variées (basket, foot de rue, cirque, coffre à histoires, street tennis, badminton, dessins à la craie, petits jeux, musique, etc.), mais aussi souvent au cours de discussions informelles.

Le renforcement de la relation jeune – travailleur social est sensé favoriser l’émergence de demande d’aide. Ceci repose sur le principe que plus le jeune connaîtra le travailleur, plus il aura confiance et plus il aura tendance à se confier à lui.

Le renforcement de la relation se fait grâce à des activités collectives (sorties, camps, …) qui nourrissent ainsi un « vécu commun » entre jeunes et travailleurs sociaux, mais aussi et surtout par la régularité de notre présence dans les quartiers, dans l’espace public, et au travers des discussions informelles régulières.

La seconde « amorce » c’est donc le moment où concrètement le jeune a la possibilité de formuler une demande auprès du travailleur social. Ces demandes peuvent également émaner d’un groupe de jeunes.

Ce processus de double amorce est un processus permanent.

Notre travail se développe essentiellement à travers quatre types d’actions :

Le contact privilégié instauré durant les tournées de quartier et les animations spontanées en rue est renforcé durant les sorties et les camps (qui créent ce que nous appelons un vécu commun). Cette relation de confiance rapproche considérablement le jeune du travailleur social

L’aide individuelle et/ou éventuellement de groupe se veut être un espace de rencontre, d’accueil et d’écoute aux demandes du jeune.

En réponse aux demandes formulées par le public cible, un accompagnement peut s’engager.  Celui-ci se doit d’être léger, non stigmatisant et ne peut se concevoir que dans une perspective d’approche globale ne se dissociant pas des réalités quotidiennes.

Cet accompagnement s’envisage comme une démarche participative à caractère pédagogique qui vise à l’émancipation et à l’autonomie du jeune

De par son action, le travailleur social de rue s’intègre dans l’environnement dans lequel il agit, il devient ainsi reconnu par l’ensemble des acteurs, comme personne crédible et de référence, susceptible d’apporter à la communauté des outils utiles à son fonctionnement. Il est donc amené à mettre en place, à faciliter ou à participer à des actions communautaires locales.

Plus globalement, si de par l’aide individuelle que nous apportons, le travailleur social se voit confronté à de multiples problèmes qui sont du domaine de la vie privée et individuelle, le travail communautaire entend retraduire ces données en question publique.

Il s’agit en fait de transformer certains problèmes récurrents en problématiques, lesquelles devront être des véritables préoccupations de société. Dès lors, cette interpellation des instances concernées est à considérer comme un devoir de tout mettre en œuvre sur le terrain pour que l’expression des jeunes puisse être réellement entendue et prise en considération.

Les activités et les camps ont pour but de renforcer le lien de confiance entre les jeunes et les travailleur·euse·s sociaux·ales de rue et de viser l’émancipation des jeunes par des activités éducatives de qualité.

Ces moments privilégiés permettent de créer un vécu commun entre les jeunes et les équipes de Dynamo. Après un camp, les souvenirs et les anecdotes sont nombreux, autant pour le jeune que pour le·la travailleur·euse.

Nous sommes vigilant·e·s à proposer des activités éducatives de qualité qui permettent aux jeunes de découvrir, d’expérimenter, de s’amuser ou de se dépasser (ex : camp découverte de métiers, camp randonnée-kayak, ateliers cuisine durable, visites et sorties culturelles, activités sportives, etc.).

Le soutien scolaire est à la fois une porte d’entrée pour rentrer en contact avec de nombreux jeunes et leur permettre de s’autonomiser dans leur scolarité.

Nous offrons un soutien scolaire secondaire de qualité pour une vingtaine d’adolescent·e·s.

L’école étant l’un des lieux de vie principale des jeunes, nous sommes très vigilant·e·s à ce que chaque jeune que nous connaissons puisse réfléchir avec nous sur ses choix scolaires et sa vie à l’école.

À PROPOS DE DYNAMO

La rue comme lieu de socialisation où se nouent et se dénouent toutes sortes d’événements, c’est notre quotidien et notre choix.

Les premières actions de Dynamo datant du printemps 1984, c’est finalement en 1986 que paraissent nos premiers statuts. L’asbl Dynamo est agréée en tant que service d’aide aux jeunes en milieu ouvert par le gouvernement de la Communauté française depuis 1991. Le service est spécialisé dans le travail social de rue et touche un public d’enfants et de jeunes issus de milieux défavorisés et/ou confrontés à l’exclusion, à la marginalisation et à la stigmatisation.

Nous sommes actifs sur trois communes bruxelloises dans différents quartiers de Forest, Uccle et Ixelles, notre siège social se trouvant sur la commune de Forest.

Notre mode d’intervention principal est le travail social de rue. Il s’agit d’une démarche de prise de contact particulièrement proactive puisque, au lieu d’attendre le jeune dans son bureau, c’est le travailleur lui-même qui va à sa rencontre.

Concrètement, notre intervention repose sur le principe dit de « la double amorce » :

La première « amorce » : la prise de contact et le renforcement de la relation jeune – travailleur social.

La première prise de contact se fait le plus souvent par ce que nous appelons les « prétextes à la rencontre ». Il s’agit essentiellement d’animations spontanées dans l’espace public, celles-ci pouvant prendre des formes variées (basket, foot de rue, cirque, coffre à histoires, street tennis, badminton, dessins à la craie, petits jeux, musique, etc.), mais aussi souvent au cours de discussions informelles.

Le renforcement de la relation jeune – travailleur social est sensé favoriser l’émergence de demande d’aide. Ceci repose sur le principe que plus le jeune connaîtra le travailleur, plus il aura confiance et plus il aura tendance à se confier à lui.

Le renforcement de la relation se fait grâce à des activités collectives (sorties, camps, …) qui nourrissent ainsi un « vécu commun » entre jeunes et travailleurs sociaux, mais aussi et surtout par la régularité de notre présence dans les quartiers, dans l’espace public, et au travers des discussions informelles régulières.

La seconde « amorce » c’est donc le moment où concrètement le jeune a la possibilité de formuler une demande auprès du travailleur social. Ces demandes peuvent également émaner d’un groupe de jeunes.

Ce processus de double amorce est un processus permanent.

Notre travail se développe essentiellement à travers trois types d’actions :

Le contact privilégié instauré durant les tournées de quartier et les animations spontanées en rue est renforcé durant les sorties et les camps (qui créent ce que nous appelons un vécu commun). Cette relation de confiance rapproche considérablement le jeune du travailleur social

L’aide individuelle et/ou éventuellement de groupe se veut être un espace de rencontre, d’accueil et d’écoute aux demandes du jeune.

En réponse aux demandes formulées par le public cible, un accompagnement peut s’engager.  Celui-ci se doit d’être léger, non stigmatisant et ne peut se concevoir que dans une perspective d’approche globale ne se dissociant pas des réalités quotidiennes.

Cet accompagnement s’envisage comme une démarche participative à caractère pédagogique qui vise à l’émancipation et à l’autonomie du jeune

De par son action, le travailleur social de rue s’intègre dans l’environnement dans lequel il agit, il devient ainsi reconnu par l’ensemble des acteurs, comme personne crédible et de référence, susceptible d’apporter à la communauté des outils utiles à son fonctionnement. Il est donc amené à mettre en place, à faciliter ou à participer à des actions communautaires locales.

Plus globalement, si de par l’aide individuelle que nous apportons, le travailleur social se voit confronté à de multiples problèmes qui sont du domaine de la vie privée et individuelle, le travail communautaire entend retraduire ces données en question publique.

Il s’agit en fait de transformer certains problèmes récurrents en problématiques, lesquelles devront être des véritables préoccupations de société. Dès lors, cette interpellation des instances concernées est à considérer comme un devoir de tout mettre en œuvre sur le terrain pour que l’expression des jeunes puisse être réellement entendue et prise en considération.

Les activités et les camps ont pour but de renforcer le lien de confiance entre les jeunes et les travailleur·euse·s sociaux·ales de rue et de viser l’émancipation des jeunes par des activités éducatives de qualité.

Ces moments privilégiés permettent de créer un vécu commun entre les jeunes et les équipes de Dynamo. Après un camp, les souvenirs et les anecdotes sont nombreux, autant pour le jeune que pour le·la travailleur·euse.

Nous sommes vigilant·e·s à proposer des activités éducatives de qualité qui permettent aux jeunes de découvrir, d’expérimenter, de s’amuser ou de se dépasser (ex : camp découverte de métiers, camp randonnée-kayak, ateliers cuisine durable, visites et sorties culturelles, activités sportives, etc.).

Le soutien scolaire est à la fois une porte d’entrée pour rentrer en contact avec de nombreux jeunes et leur permettre de s’autonomiser dans leur scolarité.

Nous offrons un soutien scolaire secondaire de qualité pour une vingtaine d’adolescent·e·s.

L’école étant l’un des lieux de vie principale des jeunes, nous sommes très vigilant·e·s à ce que chaque jeune que nous connaissons puisse réfléchir avec nous sur ses choix scolaires et sa vie à l’école.

MAIS UNE AMO, C’EST QUOI ?

Les services d’Actions en Milieu Ouvert (AMO) travaillent en prévention éducative, dans le milieu de vie des jeunes,
pour améliorer les relations avec leur environnement

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